C’est la compétition féminine qui ouvrira cette demi-finale de la CEV Continentale Cup de beach volley. A Sèvres, sur l’Ile de Monsieur, huit nations féminines tenteront de se rapprocher des Jeux Olympiques de Londres. Elles feront leur entrée mercredi en quarts de finale et n’auront qu’un seul objectif : gagner pour participer à la finale de la Continentale Cup qui donne accès aux J.O. de Londres. Entrée gratuite à Sèvres. Le public francilien est gâté : 32 joueurs et 32 joueuses vont fouler le sable de l’Ile Monsieur jusqu’à samedi pour espérer voir Londres d’un peu plus près. Si les garçons débuteront jeudi, les filles seront à l’ouvrage dès mercredi. L’équipe de France comporte deux paires féminines, soient quatre joueuses, qui vont déjà devoir franchir l’obstacle ukrainien en quarts de finale avant le grand défi face à l’Espagne, favorite de la compétition avec sa paire de calibre mondial : Liliana Fernandez-Steiner et Elsa Baquerizo. « Il faudra en effet réaliser un exploit. Mais on va d’abord se concentrer sur l’opposition ukrainienne qui se situe normalement un cran en dessous de notre équipe.
Ces filles là sont jeunes et ne tournent pas sur le circuit international, rapporte l’entraîneur national du beach Volley féminin, Christophe Victor, arrivé à Paris aujourd’hui avec les quatre joueuses après un stage de deux semaines au Creps de Toulouse. « On n’a rien à perdre. Il n’y a ni pression, ni stress et on va profiter de l’opportunité de jouer en France. Même si les J.O. sont encore loin, c’est la dernière étape avant la finale et les filles savent que c’est la dernière chance.
La qualification par le classement mondial n’est plus possible. » Avec une formule originale qui oppose deux nations composées de deux équipes, les spectateurs assisteront à des rencontres qui comporteront au moins trois matches. En cas d’égalité à 2 partout, c’est le set en or qui départagera les deux formations. « En plus les rencontres sont à élimination directe donc toutes avec de l’enjeu, rappelle Christophe Victor qui comptent aussi sur l’émulation que cela procure entre les filles, c’est un plus. » Du quatuor qui représentera l’équipe de France, Déborah Giaoui, avec ses 31 ans, (elle est associée à Melody Benhamou, 29 ans) est la plus expérimentée avec au compteur une 10e saison sur le sable. L’autre paire tricolore rassemble Eva Hamzaoui (27 ans) et Laura Longuet (24 ans). Déborah compte sur « l’homogénéité de l’équipe de France qui sera notre principale force. C’est aussi une compétition entre nous. J’aime ce travail d’équipe qui nous fait toutes progresser. Pour décrocher une place, c’est un travail à quatre. » Arrivée à Sèvres aujourd’hui, la Française avoue : « Cette qualification, on y pense depuis un an lorsqu’on a gagné un tour préliminaire à Moscou. Notre objectif est de bien figurer ici. On est en super forme mais on se méfie car on n’a pas d’historique sur les Ukrainiennes. »
Ces filles là sont jeunes et ne tournent pas sur le circuit international, rapporte l’entraîneur national du beach Volley féminin, Christophe Victor, arrivé à Paris aujourd’hui avec les quatre joueuses après un stage de deux semaines au Creps de Toulouse. « On n’a rien à perdre. Il n’y a ni pression, ni stress et on va profiter de l’opportunité de jouer en France. Même si les J.O. sont encore loin, c’est la dernière étape avant la finale et les filles savent que c’est la dernière chance.
La qualification par le classement mondial n’est plus possible. » Avec une formule originale qui oppose deux nations composées de deux équipes, les spectateurs assisteront à des rencontres qui comporteront au moins trois matches. En cas d’égalité à 2 partout, c’est le set en or qui départagera les deux formations. « En plus les rencontres sont à élimination directe donc toutes avec de l’enjeu, rappelle Christophe Victor qui comptent aussi sur l’émulation que cela procure entre les filles, c’est un plus. » Du quatuor qui représentera l’équipe de France, Déborah Giaoui, avec ses 31 ans, (elle est associée à Melody Benhamou, 29 ans) est la plus expérimentée avec au compteur une 10e saison sur le sable. L’autre paire tricolore rassemble Eva Hamzaoui (27 ans) et Laura Longuet (24 ans). Déborah compte sur « l’homogénéité de l’équipe de France qui sera notre principale force. C’est aussi une compétition entre nous. J’aime ce travail d’équipe qui nous fait toutes progresser. Pour décrocher une place, c’est un travail à quatre. » Arrivée à Sèvres aujourd’hui, la Française avoue : « Cette qualification, on y pense depuis un an lorsqu’on a gagné un tour préliminaire à Moscou. Notre objectif est de bien figurer ici. On est en super forme mais on se méfie car on n’a pas d’historique sur les Ukrainiennes. »